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  • Chapitre 6 OEIL

    Chapitre 6


    Yulia s'enfonça la tête sous l'eau au grand désespoir de Leiko et Kinshige.

    Ceux ci voulaient à tout prix lui racontait leur journée d'école.

    Mettre les jumeaux à l'école primaire avait été une des demandes de leur mère.

    Elle repensa à la conversation qu'elle avait eu avec Hidekazu. Il n'avait pas réagit en entendant le prénom de son aïeule, Ludmilla. Il avait juste retenu « Oeil de Séraphin ».

    Heureusement pour elle, il paraissait peu connaître l'Histoire, car son aïeule, Ludmilla, avait participé à la rébellion contre la hiérarchie de l'Oeil.

    Arrêter, elle avait été dénuer de tous ces droits en tant qu'Oeil de Séraphin.

    Elle était devenu autre chose. La mère de Yulia, Sylvia, ne lui avait jamais dit quoi exactement, mais pour que cela fasse peur à une Oeil de vampire de son rang, ça devait être quelque chose d'assez horrible.

    Perdu dans ses pensées, elle sentit soudain que quelqu'un lui enfonçait un poing dans le ventre.

    • Mais qu'est ce que...

    elle s'assit brusquement en toussant. Kinshige serrait contre lui son bateau en plastique jaune et Leiko était assise sur le bord de la baignoire et la regardait inquiète.

    • Kinshige croyait que tu étais morte.

    • Et ça m'a vallut un coup de poing?!

    Leiko s'entoura dans une serviette et sourit.

    • Tu as de la chance, il voulait aller prévenir Hidekazu pour qu'il te sauve.

    • Alors là, il faudrait que je sois vraiment morte!!!

    Leiko entoura son frère dans une serviette et lui tapota la tête.

    • Tu vois elle est vivante.

    • Oui, on va se coucher?

    • Aller mettre vos pyjamas, les mioches!! Fit Yulia en se levant brusquement et en les aspergeant.

      Les jumeaux firent 3 pas en arrières quand soudain, ils émirent en même temps le même son.

    On aurait dit qu'ils chantonnaient mais en faite, ils murmuraient des mots sans queux ni têtes. Yulia s'entoura d'une serviette et s'accroupit devant eux. Elle connaissait suffisamment Leiko et Kinshige pour savoir comment commencer une vision.

    Tout d'abord elle ne compris pas cette litanie mais comme elle savait qu'ils la répéteraient une bonne centaine de fois, elle se concentra pour arriver à détacher les mots entre eux. Heureusement pour elle, cette fois, les mots qu'ils prononçaient à grande vitesse étais du japonais, d'autres fois, elle avait eu droit à du latin et à une dialecte indien entre autre.

    • Mortnoirsangténébreoeilantiquevengeancesorcierdémonpouvoircomencementfin.

    Yuila frissonna, les prémonitions qui commençaient par le mot « mort » ne lui plaisait pas beaucoup. Elle se tourna vers le meuble de salle de bain et fouilla dans un tiroir pour en sortir un rouge à lèvre, elle se leva et commença à écrire la prémonition sur le miroir.

    Les jumeaux reprirent leur souffle et recommencèrent la prémonition. Elle vit du coin de l'oeil que Leiko commençait à cligner des yeux, ce qui voulait dire qu'ils allaient bientôt sortir de leur transe.

    Elle marquait le dernier mot quand ils se turent, elle les regarda surprise, d'habitude quand ils avaient fini une prémonition, ils demandaient un verre d'eau tant leur bouche était sèche.

    Kinshige leva brusquement la tête vers elle et cette fois il parla clairement:

    • Tu vas pleurer des larmes de sang.

    Yulia surprise se pencha vers lui, cette fois il se réveilla et l'attrapa par le bas de la serviette.

    • Kinshige?

    Il se mit à pleurer et se tourna à demi vers sa soeur, elle aussi s'était réveiller mais elle regardait Yulia avec stupeur.

    • Tout va bien, vous avez eu une prémonition. Vous voulez un verre d'eau?

    Leiko attrapa la main de son frère et le tira avec elle hors de la salle de bain.

    Yulia surprise les regarda entrés dans leur chambre et fermés la porte derrière eux.

     

  • Chapitre 5 Oeil

    Chapitre 5


    • Il y a quand même quelque chose qui me dérange, dit Hidekazu en bouclant sa ceinture.

    Yulia lui jeta un bref regard dans le rétroviseur et s'engagea sur la route.

    • Qu'est ce qui te dérange?

      Les victimes... nous savons qu'un Oeil de Vampire les a attaqués. Pour boire leur sang.

    • Et?

    • Toi aussi, tu es un Oeil de Vampire. Tu ne ressens pas le besoin de boire du sang?

    • Non, je ne l'ai jamais ressenti. Pour l'instant, ajouta t'elle après un bref silence.

    • Comment ça?

    • J'ai appris depuis mon plus jeune âge à ne pas me servir de mon pouvoir de vampire. Donc, je ne suis pas trop influencé par mon Oeil. Celui ou celle que nous recherchons, contrairement à moi, l'a trop utilisé.

    • Donc la soif...

    • d'abord, la sensibilité de la vue à la lumière du jour, ensuite les brulures dû au soleil et enfin la soif.

    • Tous les inconvénients en somme.

    • Non, car on gagne aussi la force, la vitesse, la vision nocturne, le don de persuasion,..

    Hidekazu s'enfonça dans la banquette et frémit.

    • Un ennemi assez puissant.

      Il réalisa soudain ce qu'elle venait de dire.

    • Attends un peu, ça veut dire que toi qui n'a presque pas utilisé ton Oeil, tu es plutôt faible par rapport à lui?!

       

    Elle hocha la tête et mit son clignotant pour tourne.

    • On peut toujours espérer que ce soit...

    Elle se gara le long du trottoir. Hidekazu se dépêcha de sortir de la voiture pour la bloquer devant l'entrée du Yuubae.

    • Que ce soit quoi?

    Yulia s'appuya contre la porte et le regarda.

    • Tu as déjà entendu parler des Camelots?

      Pas souvent. Je sais juste qu'ils sont considérés comme des parias.

    • Et pour cause.

    Elle ouvrit la porte et l'entraina vers son bureau.

    • Ceux sont des voleurs d'Oeils.

    • Des voleurs d'Oeils?!

    Yulia soupira.

    • Tes grands parents ne dont donc rien appris?

    Elle se pencha et releva une des mèches de Hidekazu qui cachait son Oeil.

    • Toi comme moi, et pour les autres possesseurs d'Oeils de cette planète, avons tous subis à la naissance, la Possession de la part des Oeils de Dragons. Nous y avons droit, car nous sommes les enfants de nos parents et tout comme eux des Porteurs d'Oeils. Vampire, Sorcier, Enchanteur,...C'est dans nos gènes. Bien que quelques fois, il y ai des exceptions.

    Elle se mit à jouer avec une brique de lait fraise.

    • Les humains normaux, ne sont pas censés nous connaître. C'est pour cela qu'au filer des siècles, nous sommes devenus des légendes... Mais il arrive que certains Possesseurs ne respectent pas ce silence. Surtout les Oeils de Succube, alors là, qu'est ce qu'ils sont chiants!!! Impossible de leur faire garder le moindre secret!!!

    Yulia fulminait, elle prit la paille et l'enfonça violemment dans la brique. Hidekazu attendit qu'elle reprit son calme. Elle reposa sa brique et prit une profonde inspiration.

    • Ah!!! Ca fait du bien!! Bon, alors, où en étais je? Ah, oui, les Succubes. Ces ignobles petites saletés adorent allés répétés les secrets dans l'oreille des êtres normaux. Surtout celles des gens riches et ayant de l'autorité. Contre beaucoup d'argent, ils leurs apportent ce que le client désire et procède de façon barbare à la cérémonie de la Possession.

    • Comment ce procurent-ils donc les Oeils?

    • Les Camelots... Et ils ne les volent pas aux Oeils de Dragons, tu peux me croire. Ils vont directement les prendre aux légitimes possesseurs.

    Hidekazu la regarda dégouté.

    • Tu veux dire qu'ils les...

    Il ne prononça les mots mais fit mine de s'arracher l'Oeil.

    • Oui.

    Il en resta pantois et la regarda jeter sa brique dans la poubelle. Elle retira sa veste et la posa sur le dos de son siège.

    • Tu ne vas pas être malade, j'espère? S'enquit t'elle en délaissant ses chaussures.

    • Non, je ne crois pas. Mais comment es tu autant au courant?

    • Quand j'ai eu 12 ans, un Camelot est venu proposer beaucoup d'argent à mon père contre mon Oeil.

    Elle sourit en se rappelant se souvenir.

    • Et?

    • Comme tu vois, j'ai toujours mon Oeil, mais l'autre a perdu la vie. Tu vois, mes parents, ont beau être cruel et sanguinaire, je suis quand même leur fille unique et ils m'aiment.

    Hidekazu en resta interdit.

    • Et de toute façon, la personne qui aurait porter cet Oeil à ma place, n'aurait jamais pleinement bénéficier de son pouvoir.

    • Ce qui veut dire, que si l'Oeil de Vampire que nous pourchassons est un faux porteur....

    • Je suis plus forte. Et, toi aussi, Oeil de Sorcier. D'ailleurs, ça me fait penser.

    Elle se leva d'un bond et se dirigea vers lui.

    • Quoi? Demanda t'il en la voyant le regarder sur toutes les coutures.

    • Tu es un bon Oeil de Sorcier?

    • Oui, je connais des sorts d'attaques et de défenses.

    Elle le regarda sceptique.

    • Ton niveau?

    • 2 sorts de Vent, 3 de Feu, 4 d'Eau et 6 boucliers.

    • Toutes les heures, si je me souviens bien. Pas mal pour un jeune de 20 ans mais...

    Elle croisa les bras.

    • Si tu épuises tout en moins d'une heure tu vas à l'encontre de graves problèmes.

    • Je sais, mes grands-parents m'ont prévenus. C'est pour ça que je connais plusieurs types d'arts martiaux.

    Yulia s'approcha d''un mur et déplaça une peinture à l'huile pour faire apparaître un coffre fort. Elle l'ouvrit, celui-ci était profond et encombré d'objets de toutes sortes.

    Elle en sortit un énorme revolver gris glacé avec des arabesques mauves gravés dessus.

    • Prends le.

    Hidekazu le prit et siffla d'admiration.

    • Il est magnifique!! Par où je mets les balles?

    • Tu n'en mets pas. C'est un Tan'Juu. Mon arrière grand -père la reçut en paiement .

    Hidekazu était impressionner.

    • Un Tan'Juu!! Tu veux dire que ton arrière grand-père ...

    • oui, il a servit plusieurs fois le Bon. Prends en soin, je ne voudrais pas qu'il me gronde parce que tu l'as abimer.

    • Ton arrière grand-père?!

    • Non, mon père. Je sais bien que nous autres les Oeils de Vampires bénéficions d'une espérance de vie extrêmement longue, mais quand même.

    • A quel âge est mort ton arrière grand-père?

    • A 327 ans, si je me souviens bien. Mon grand-père 300, mon père va sur sa 190 éme année.

    • Et toi? Demanda t'il.

    • J'ai 24 ans, dit elle en se retournant brutalement vers le coffre fort pour en retirer un long objet.

    Elle enleva le tissus qui l'entourait et lui présenta une magnifique épée.

    Il s'avança, plein de respect et caressa du doigt le plat de la lame.

    • Cette épée appartenait à une de mes aïeules russe. Si je me souviens bien, elle s'appelait Ludmilla.

    • Une Oeil de Vampire?

    • Non. Elle était Oeil de Séraphin.

    Là, Hidekazu ne sut plus quoi dire. Il en resta bouche-bée. Elle le vit et lui fit un sourire contrit.

    • Si je dois citer ma mère, elle n'étais pas la meilleure partie de la famille.

    • Mais ta famille est plus impressionnante que la mienne!!! Un Oeil de Séraphin!! Tu te rends compte!! Une gardienne de l'Oeil Immaculé.

    • En tout cas, son épée nous servira bien.

      Yulia la fit tournoyer dans sa main.

    • Parfait pour couper les Démons en deux. En faite, ton Tan'Juu, il tire des rafales d'air.

    • Hein?

    • Tu es capable de faire des trous énormes avec, alors fait gaffe où tu pointes.

    • Ok.

     

  • Edo Chapitre 6

    Chapitre 6


    • Tu n'es pas obligé de m'accompagner.

    • J'y tiens ça fait longtemps que je n'ai pas vue Itsuko et Sei.

    • Montre un peu plus de respect à leurs égards.

    Ils montèrent dans la barque. La traversée ne prit pas beaucoup de temps.

    Dès qu'ils touchèrent le ponton, Tomoya accourut vers eux. Il se jeta dans les bras de Ro An.

    • Ro An!!!

    • Bonjour Tomoya!!!

    • C'est qui se mioche?!

    Tomoya regarda le nouveau venu. Il ne lui plaisait pas du tout.

    • Il s'appelle Tomoya.

    • Ro An, tu sais ce que j'ai dit tout à l'heure à Itsuko sama?

    • Non, quoi?

    • Que plus tard, tu seras ma femme car je t'épouserais!

    • C'est mignon, fit Ro An en s'accroupissant.

    • Faut pas rêver le mioche, lança Akuma.

    • Comment ça?!

    • Elle sera trop vieille quand tu auras l'âge de te marier.

    • Trop vieille?!

    Ro An se releva.

    • Et bien c'est sympa!! T'es gentil quand tu veux.

    Elle prit Tomoya par la main et partit vers la maison, celui ci se retourna et tira la langue à Akuma.

    • Sale mioche!!!

    • Akuma.

    Reconnaissant la voix de Maître Sei, Akuma se calma et se tourna vers lui.

    • Je croyais qu'avec les années tu te saurais enfin calmer.

    • Je ne me calmerai jamais.

    Il s'avança sur le ponton et s'appuya contre la barrière de bois. En dessous de lui, les poissons rouges gobaient des mouches.

    • J'ai eu des nouvelles de ton Père.

    • Il est passait vous voir?

    • Non, il m'a écrit une lettre. Où il me rappelle la loi sur les étrangers.

    • Quel crétin. Il est au courant pour Ro An?

    • Peut-être par une ancienne servante.

    • Il ne peut rien contre vous. N'êtes vous pas l'ancien Shogun de l'Empereur?

    • Si mais il a quand même une place importante dans la société.

    • Si il fait quelque chose contre votre famille, vous n'avez qu'à lui rappeler que son fils ainé est toujours en vie et habite dans une forêt.

    • Il te fait passer pour mort depuis si longtemps. N'oublie pas qu'il a eu 2 fils avec sa seconde épouse.

    • De toute façon, vous trouverez bien une solution, pas vrai? Vous considérez Ro An comme votre propre enfant.

    • Tu as raison sur ce point. Reste tu longtemps avec nous?

    • J'ai décidé d'accompagné Ro An pour son prochain voyage.

    • Voilà qui est fort aimable de ta part. Éprouves tu encore des sentiments à son égard?

    Akuma s'éloigna sans répondre.

    • Je t'assures Itsuko sama, Akuma à toujours aussi mauvais caractère.

    • C'est un homme voilà tout? Sans compter qu'il a vécu comme un ermite depuis très longtemps.

    • Il n'a pas besoin d'être aussi rustre.

    En parlant Ro An commença à attraper quelques ingrédients. De la farine, des oeufs, du sel, du lait.

    Les servantes la regardaient faire. Elle mélangea le tout , en fit une boule qu'elle se mit à aplatir. Après l'avoir assez aplati, elle mit la pâte dans le four en terre et découpa des pommes.

    • Tu nous fais le dessert de ce soir ma chérie?

    • Oui, une tarte aux pommes.

    Akuma pénétra dans la cuisine et regarda d'un air sombre les servantes. Il regarda Ro An s'affairer autour de la nourriture. Il vit le gamin accrocher à son kimono.

    • On dirait plus ton fils que ton fiancé , fit il.

    • Je n'ai pas le temps de me mettre en colère contre toi. Va te promener.

    Il fit demi tour sortit de la cuisine. Il marcher sans regarder où il allait quand une servante le retint par la manche.

    • Je suis désolée. Ce quartier est réservé à Ro An Sama.

    • Très bien.

    Il fit quelques pas et quand il fut sure que la servante était partit, il se dépêcha de pénétrer dans le couloir. Celui ci était long et sombre, au bout de 5 pas on ne pouvait plus l'apercevoir.

    Il arriva enfin devant la porte.

    Il la poussa et pénétra à l'intérieur de la pièce. Les fenêtres étaient grandes ouverts révélant le fouillis. Le futon était bien fait mais recouvert de feuilles et de livres. Sur certaines feuilles étaient dessinés des lieux inconnues. Il vit une large armoire remplie de vêtements. De loin, il reconnut la sac qu'elle avait à leur rencontre. Il pendait à une des portes. Il fouilla dedans et sortant des sortes de papiers dures et brillant. Il fut surpris en voyant des gens dessus. Ils étaient habiller de façon bizarre, et les femmes portés les mêmes vêtements que les garçons. Ro An était sur toute les photos montrant un sourire qu'elle n'avait plus. Sur la dernière, une femme plus âgé qu'elle la serrait contre elle. Elles se ressemblaient beaucoup, Akuma sut que c'était sa mère.

    Il reposa les images dans le sac. C'est alors qu'il entendit du bruit venant du seuil. Il se retourna et vit, le gamin, Tomoya.

    Celui ci avait un rouleau entre le mains et le regardait. C'est quand il releva les yeux qu'il vit Akuma.

    • Qu'est ce que tu fais ici? C'est interdit!!! Il n'y a que moi que Ro An autorise à venir!

    • Je ne fais que regarder, gamin.

    Tomoya jeta le rouleau sur le futon et se précipita les poings levés sur Akuma.

    • Il faut que tu partes!!!

    Akuma lui attrapa les mains.

    • Calme toi, gamin! Je ne veux pas te faire de mal.

    • Je ne veux pas!!! Je ne veux pas!!!

    • Qu'est ce que tu veux pas?

    • Que tu emmènes Ro An avec toi!!! Elle est à moi!!!

    Akuma leva Tomoya au niveau de ses yeux.

    • Je la connais depuis plus longtemps. Elle m'appartient.

    Il avait dit ça d'une voix glaciale. Tomoya en resta pétrifié. Akuma avait l'air de quelqu'un d'autre, quelqu'un de malfaisant.

    • Tu as vraiment un caractère pourri.

    En entendant la voix de Ro An, Akuma sous la surprise lâcha Tomoya qui tomba sur les fesses.

    Elle était là, il n'avait qu'à tendre le bras pour la touchée, mais c'est elle qui le toucha. Violemment. Elle lui donna un coup de poing dans l'estomac. Il se plia en deux.

    • Il ne faut jamais longtemps pour que tu révèles cette part de toi.

    • A qui la faute, d'après toi? Demanda t'il agenouillé devant elle.

    • Pas la mienne en tout cas. Je mettrais ton comportement plutôt sur ton éducation spartiate.

    Elle aida Tomoya à se relever.

    • En faite, j'étais venu vous dire que le repas était près.