Chapitre 1 Dîner avec Monsieur M.

Ma chère Rosa,

 

c'est avec une très grande joie, que je vous invite à notre soirée décadaire.

 

 

Au plaisir de vous revoir.

 

 

 

 

 

 

 

Lorena Altair reposa le mot qu'elle venait de découvrir sur la table de chevet de sa grand-mère. Elle mordilla ses lèvres indécise. Devait elle montrer ce mot à sa mère? Lorena avait toujours pensé que sa grand-mère, Rosa, avait vécue seule sans aucun amant, après la mort de son cher mari. Mais voilà, cette note, un poil sibylline, venait de fausser ce jugement.

Elle entendit le pas de mère dans le couloir et se retourna au moment au celle ci ouvrit la porte.

Cathrina, avait était une très belle femme dans sa jeunesse, maintenant à 45 ans, elle en paraissait 10 de plus à cause des ravages de l'alcool. Posant ses grands yeux bleus sur sa fille, elle lui adressa un faible sourire.

• Te sens tu la force de continuer maman?

• Pas trop, ma chérie. Mais on doit avoir débarrasser cet appartement avant 3 jours.

Elle s'asseya en soupirant sur l'énorme pouf qui se trouvait près de la porte.

• Franchement, je ne sais pas du tout, comment ta grand-mère a fait pour pouvoir payé ce château.

• Elle avait de l'argent de côté.

• Si peu.

Sa mère soupira pour montrer son découragement.

Prenant son courage à deux mains, Lorena reprit la note et la tendit à sa mère.

• Tu devrais voir ça.

Sa mère prit la note et la lue.

• Et alors? Tu devrais y aller.

• Comment ça maman? C'est une note pour grand-mère!!!

• De quoi parles tu Lorena?! Elle t'ais adressé. Tu perds un peu la tête ma chère fille.

Arrachant presque la note des mains de sa mère, Lorena la relue.

 

 

 

Chère Lorena,

 

c'est avec une très grande joie, que je vous invite à notre soirée décadaire.

 

 

Au plaisir de vous connaître.

 

 

 

 

 

 

Lorena ne put s'empêcher de frissonner. Elle avait pourtant bien vue.

Avec une certaine appréhension, elle relue la lettre mais le mot n'avait pas changer.

• Je ne sais pas quand c'est.

• C'est peut-être écrit au verso.

Retournant la feuille, Lorena vit de tous petits caractères. Plissant des yeux, elle réussit à lire.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le dîner se déroulera se soir, rue des Moines dansants, maison bleue.

 

• Rue des Moines dansants? Murmura t'elle.

• Tu n'as qu'à y aller, Lorena, cela te changera les idées.

Lorena acquiesça.

Chapitre 9 OEIL

Chapitre 9

• On peut savoir ce qui se passe, Directeur? Demanda Sakuragi Anzu.

Caleb Mc Gilvary s'appuya contre un des murs du bureau.

• Je suis en train de rater un match!! fit il plaintif.

• Oogoto san, vous ne pouvez nous retenir plus longtemps sans raison. J'ai un cours qui va bientôt commencer!!!

• Keshiki san, vous allez pouvoir retourner en cours quand ces jeunes gens en auront finis avec vous 3, répondit Oogoto.

Il se tourna vers Yulia et Hidekazu.

• Il serait peut-être temps de commencer?

Yulia approuva d'un mouvement de la tête. Elle s'approcha de Caleb et leva sa main au niveau des yeux et appuya sur le spray. Le jeune homme ferma les yeux instinctivement.

• Eh!! Mais qu'est ce que vous faite!!!

Il s'essuya le visage.

• C'est du parfum?!

Yulia le regarda attentivement, il n'avait pas l'air de se métamorphoser.

• Au suivant.

Elle se tourna vers Sakuragi. Celle ci se leva prestement de son siège et tendit les mains devant elle.

• Je veux savoir ce que vous faites!!! cria t'elle.

Elle agrippa le poignet de Yulia et le secoua pour lui faire lâcher la fiole. Hidekazu lui attrapa les bras et les tint derrière son dos.

• Non, je ne veux pas!!!!!

Elle commença à se débattre, donnant des coups de pieds. Hidekazu la plaqua contre le sol tendit que Yulia fit fonctionner le spray. Sakuragi se mit alors à hurler de douleur.

Yulia se tourna vers les autres.

• C'est elle!! Il faut que vous sortiez!!

Oogoto poussa hors de la salle Caleb et Keshiki san.

Hidekazu prit les armes qu'ils avaient cachés plus tôt sous le bureau du directeur. Il lança Tsurugi à Yulia qui l'attrapa adroitement et pointa Tan'Juu sur Sakuragi.

Celle ci commençait à se relever en continuant à pousser de petits gémissements.

• Tu es bien sûre de toi, Yulia?

Avant que Yulia ne puisse répondre, Sakuragi le regarda. Son Oeil gauche était jaune bordé de rouge.

• Bande de sales tricheurs!! Ça ne devait pas se passer comme ça?!

Elle donna un coup de pied vicieux à Yulia. Celle ci recula sous le choc.

• Hidekazu tu devrais faire gaffe, elle est sacrément forte, prévint elle d'une voix rauque.

• Je vais vous tués lentement et en vous faisant souffrir, leur lança Sakuragi en dévoilant ses canines.

Hidekazu tira, sous la pression du vent, le sol à côté de Sakuragi s'affaissa.

• Mais qu'est ce que?! Fit elle surprise.

Elle se tourna vers Hidekazu et le regarda dans les yeux.

• Toi tu arrêtes, intima t'elle.

Celui ci cessa de bouger et la regarda incrédule.

• Elle t'a hypnotiser!! cria Yulia en abaissant son épée d'un mouvement fluide.

Sakuragi regarda épouvanter son bras gauche se détachait de l'épaule. Un jet de sang recouvrit la moitié de la salle.

Ayant cesser le contact visuel,Hidekazu put de nouveau bouger. Il abattit la crosse son arme contre la tempe de Sakuragi. Elle glissa sur le sol mais ne perdit pas connaissance. Yulia lâcha Tsurugi et attrapa Sakuragi par le cou. Celle ci essaya de la griffer avec sa main valide.

• Maintenant tu vas répondre à quelques questions.

• Jamais!! Je préfères mourir.

• Tu vas mourir !! je t'ai coupé le bras , tu as l'artère tranché. C'est déjà une chance que tu ne sois pas morte sous le choc.

Sakuragi poussa un gémissement de peur en voyant sa vie s'enfuir à gros bouillon par son moignon.

• Vous ne pouvez rien faire?

• Je suis désolée. Mais tu as tué des personnes innocentes, cela démontre que tu es une Oeil de vampire très agressive. Tu ne peux pas te contrôler.

• Ça ne devait pas se passer comme ça...

• Maintenant répond, par qui as tu eu cet Oeil?

Des larmes coulèrent des yeux de Sakuragi. Des larmes de sang. Yulia détourna les yeux.

• Je ne voulait pas devenir ça..., murmura Sakuragi dans son dernier souffle.

Yuila la posa par terre et lui ferma les yeux.

• C'est fini ? demanda Hidekazu.

• Oui, elle est morte.

Chapitre 4 EDEN

Chapitre 4

Isael soupira d'aise et s'étira dans son lit. Sa bague accrocha un éclat du soleil et brilla envoyant des lueurs sur les murs.

Michelle qui était assise devant son ordinateur se tourna vers elle.

• Ca brille.

• C'est jolie pas vrai?

• C'est une bague.

• Oui, mais ce n'est pas simplement ça.

Michelle arqua un de ses sourcils et replongea sur son clavier.

Isael sortit du lit et entra dans la salle de bain. Là, elle prit une longue douche. Malgré cette belle journée qui commençait, elle se sentait un peu triste, car elle savait qu'elle n'allait pas voir Hayden avant le soir.

Elle sortit de sa doucha s'essuya et entreprit de se coiffer.

Elle avait enfin terminer de s'habillait quand on toqua à la porte. Elle l'entrouvrit et y découvrit Ino accompagnée d'une jeune fille aux allures de poupée.

• Bonjour, Isael!! Je te présente ma colocataire Iren.

Celle ci lui fit un petit signe de la main.

• Je venais voir si tu allais bien.

• Oui, pourquoi?

• J'ai entendu des rumeurs.

• Des rumeurs?

• Comme quoi tu sais voler et que tu es plus rapide que le vent.

Iren gloussa.

• Non, je ne sais pas voler, j'ai juste sauter. Mon élan m'a juste emmener à 50 mètres de mon point de départ.

Ino et Iren ouvrirent de grands yeux.

• J'ai plus de force que vous autres terriens.

• Certainement.

Iren se mit à jouer avec une de ses couettes en regardant Ino avec insistance.

• Ha oui, j'ai aussi oublier de te dire. Iren est une Wasienne. Elle a voulut te rencontrer dès que je lui ai dit que tu étais une Was.

Isael regarda plus attentivement la jeune fille, elle se rendit compte que ces prunelles avaient un léger cercle violet.

• Oui, je suis Wasienne par mon père, qui était un authentique Was.

• Vous étes beaucoup des Wasiens dans l'université?

• 4 en comptant Ino qui l'ai légèrement par son père. Les trois autres sont en terminales.

Voyant que des filles les regardaient parler, elle les fit entrer dans la chambre.

• On sera plus tranquille. Je suis désolée de ma maladresse mais je n'ai jamais rencontrer des Wasiens. As tu des aptitudes supérieurs aux terriens?

• J 'entends parfois les pensées des autres quand je dors et je cours un peu plus vite que la moyenne . Sinon rien de bien probant.

• Hum. C'est quand même pas si mal.

Ino regarda sa montre.

• Je suis désolée mais je crois qu'il est l'heure d 'aller en cours.

Isael attrapa son sac de cours et sortie avec elles dans le couloir.

• Tu as quoi en première heure?

• Histoire d'un Monde.

• Nous ont à physique.

Elles se quittèrent au coin de la rue. Quand Isael entra dans l'amphithéâtre, il y avait déjà pas mal d'étudiants. Elle se choisit une place au troisième rang. Son voisin lui adressa un sourire et replongea dans son ordi.

Le professeur entra avec quelques minutes de retard. Il était d'une longue toge grise au-dessus d'un jean. Il était jeune, Isael lui donna au moins la trentaine. Ses cheveux blond était ramené en arrière.

Il toussa dans un micro ce qui eu pour effet d'interrompre le brouhaha.

• Bien, mesdemoichelles , mechieurs, che me préchente, che chuis le Profecheur Tyr. Enchemble nous étudierons l'Histoire d'un Monde.

Il toussa et ouvrit son ordinateur.

• Nous allons commencher par le le Jour de La Grande Débâcle.

Une fille au premier rang l'interrompit en levant sa main.

• Oui?

• Professeur, ne devrions nous pas commencer par La Grande Catastrophe?

• Et bien, chertaines perchonnes au gourvenement à juger chette partie du programme hors propos, elles penchent que c'est mieux de démarrer l'histoire, le jour où l'humanité à déchider de s'en aller.

• Mais professeur, je suis certaine que tout le monde ici voudraient entendre cette partie de l'histoire.

Le professeur Tyr sembla réfléchir quelques secondes et approuva.

• Che ne penche pas que cha puiche vous faire du mal. Che vais mettre le programme en route.

Quelques élèves ne purent retenir des soupirs de soulagement. Le professeur Tyr avec son cheveux sur la langue était difficilement compréhensible.

La voix synthétique d'une femme sortie des amplis.

• Le Jour de La Grande Catastrophe.

  Le 21 août 2182 à 19h15 heure terrestre, le Gouvernement de la Patrie situé au Pôle Sud de la planète Terre fut prévenu par le vaisseau amiral « Lumière Lointaine » positionné près de la planète Pluton, de l'éminence d'une catastrophe de niveau 2.

Le professeur Tyr interrompit le discours pour donner des renseignements.

• Le Gouvernement de la Patrie était formé de 10 perchonnes sélectionnés chur toute la planète, il a été mis en plache 50 ans auparavant. Les différents niveaux sont les pochibles chénarios de la destruction de la Terre.Le niveau 2 signifie météorite. Le 1: Guerre, le 3: invasion, le 4: explosion du soleil, le 5: mort naturelle de la Terre.

Il remit la cassette en route.

• Le vaisseau prévint la Terre que l'humanité avait moins d'une semaine pour fuir. L'armée décida d'envoyé des vaisseaux de guerre pour enrayé l'avancer de la menace mais quand il virent la taille du météore, ils surent que toutes attaques étaient impossible. Il fut décider d'abandonner la planète pour la survie de la race humaine. Des milliers de vaisseaux de transport furent envoyés aux confins de l'espace. Ce jour fut gravés dans les mémoires comme le jour de La Grande Débâcle.

Le professeur Tyr éteignit son ordinateur.

• Mais professeur qu'est il arriver à notre planète d'origine?

• Rien n'a été noter dans les rapports. Ch'est un grand mystère.

• Elle est peut-être toujours là!!! s'exclama un garçon.

• Tout le monde est partie de la Terre?

Le professeur eut l'air triste.

• Malheureusement non. Il n'y avait pas achez de vaisseaux.

Les élèves sursautèrent en entendant la sonnerie du fin du cours.

Isael resta perplexe. Les Humains bien qu'ils soient depuis plus de 200 ans sur cette planète et que tous étaient nés ici, sembler conserver en eux, la nostalgie de leur monde.

Elle regarda leur et soupira encore quelques heures avant de retrouvé Hayden.