Chapitre 16
Yulia sentit son portable vibré. Elle le sortit de la poche de son jean et l'ouvrit.
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Allo?
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Yulia? C'est Hidekazu.
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Hidekazu, qu'est ce que tu deviens?
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Ça ne va pas très fort pour tout te dire. Tu es où?
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A Bordeaux. Ma mère veut faire quelques boutiques avant d'aller à la campagne. Et toi?
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Je viens d'arriver à Paris avec Leiko et Kinshige.
Yulia en resta interdite.
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Yulia?
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Tu es à Paris?!
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Oui, je viens d'arriver à l'instant. Je suis encore à l'aéroport.
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Lequel?
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Charles de Gaulle. Je prononce bien?
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A peu près, soupira Yulia. Attends je vais envoyé quelqu'un te chercher.
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Pas la peine!! Je vais venir en taxi.
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En taxi?! T'es pas un peu malade?! Il y a bien 400 km entre Paris et Bordeaux!!
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bah, justement, je pensais envoyer la note à ma famille.
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Prends plutôt un autre avion. J'enverrai quelqu'un te chercher à l'aéroport de Mérignac.
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Très bien.
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J'espère que tu n'es pas venu pour rencontrer mes parents parce que tu sais, ils ne sont pas très présentable.
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Je te promets que ce n'est pas pour ça. A tout à l'heure.
Yulia éteignit son portable et le rangea. Elle regarda les gens s'amusaient sur le Miroir d'Eau et traversa la Place de la Bourse en direction de la Place Gembetta. La maison de ses parents se trouvait rue Fondaudège enfonçait dans une petite ruelle.
Elle poussa la lourde porte de l'entrée et fut accueillit par une multitudes de roses. Sa mère, habillait d'une robe vaporeuse couleur vert d'eau, s'amusait à les peindre sur une immense toile. Le rendu était assez étrange.
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Très jolie peinture, mère.
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Merci ma chérie!! fit celle ci en donnant un grand coup de pinceau jaune.
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Hum, en faite, mère...
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oui?
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J'ai un ami qui doit venir. Sous peu.
Sa mère s'interrompit et la regarda.
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Sous peu?
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En fin de journée. Et il ne sera pas seul. 2 de mes employés l'accompagnent.
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Un ami et 2 employés...
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2 jeunes employés. Les 2 enfants que je m'occupe depuis 2 ans.
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Ah, les célèbres Leiko et Kinshige !! Depuis le temps que j'en entends parler.
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Tu t'en souviens?!
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Ma chérie, je sais que je suis légèrement inattentive, mais je te concernant je n'oublie jamais rien. Tu es mon seul enfant Yulia, il est normal que je sache tout ce qui te concerne.
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Et bien, maman, je suis ravie de l'apprendre. Mais promets moi de ne pas les attaqués.
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Je te le promet ma chérie, c'est la première fois que je rencontrerai un de tes amis!!!